François : La Fête D’Anniversaire Tourne À L’Orgie. (Partie 3)

Dans la première partie du récit, François en rentrant de Paris, avait rêvé que la fête d’anniversaire de son fils, se transformait en orgie. Comme je vous l’avais promis, je continue les aventures de François. Dans la partie 2, François avait fait la connaissance de Josiane, une veuve bourgeoise chaude comme de la braise qui ne pouvait plus se passer de lui et de sa queue magique qui la faisait jouir comme une folle. Je dois toutefois faire un petit récapitulatif, je parlerai donc en la personne de François.

À cette fête d’anniversaire de mon fils Richard fêtant ses 20 ans, Anne-Marie, mon épouse et Margot ma fille de 18 ans et demi avaient invité : Nos amis de toujours, Sylvie, son époux Denis et leur fils Christophe, mon frère Michel, sa compagne Isabelle, la sœur de ma femme Christine avec son mari Bernard et leur fille Céline, mais également, mon frère Michel, sa compagne Isabelle et quatre autres copains de Richard : Benoit, Jérémy, Stéphane et Johan, sans oublié, Laetitia, la petite salope offerte à mon fils en cadeau. Pour cette fête, les deux cousines à peine majeures et fraichement dépucelées avaient préparé un philtre d’amour à base de rhum avec un savant mélange de jus de framboise, de miel et de la dopamine en particulier, qui avait le pouvoir de déclencher le désir. Elles en avaient également mélangé avec du cannabis dans le gâteau au chocolat.

Ce soir-là, après avoir consommé le punch préparé par les deux jeunes filles, cette boisson avait échauffé les esprits. Chaque couple n’hésitait pas à montrer leur amour pour leur conjoint par de petites caresses et quelques bisous pendant tout le repas. Même les deux jeunes cousines, ayant chacune deux amis de Richard à leur côté, s’en donnaient à cœur joie. Les mains baladeuses de leurs voisins faisaient mouiller leur petite culotte respective pendant tout le repas. Laetitia n’avait pas eu besoin de ce cocktail pour mettre sa main sur la queue de Richard assis à côté d’elle et lui demandé de faire pareil.



Le pire restait à venir, au dessert, après avoir dégusté l’excellent gâteau au chocolat, la température des corps avait encore augmenté d’un cran. Laetitia n’en pouvait plus, elle avait vraiment envie de baiser tout de suite, elle prit Richard par la main et l’emmena finir la nuit chez elle. Il en était de même pour les deux cousines, elles avaient le feu au cul depuis plus d’une heure. Elles montèrent à l’étage accompagnées de Jérémy et Stéphane, tout de suite suivi de Johan qui ne voulait pas rester en reste, laissant Benoit le plus timide, seul avec les adultes. Les deux jeunes filles qui avaient connu leur première fois avec leur petit ami il y a un mois à peine, allaient vivre une partie à cinq où elles vécurent leur première sodomie et bien entendu, la double pénétration.

Dans la salle à manger, les couples Sylvie et Denis, Michel et Isabelle, Christine et Bernard ayant eux aussi très envie de sexe prirent congé. Les trois femmes désiraient que leurs conjoints éteignent le feu qui leur brulait les entrailles. Il ne restait donc plus qu’Anne-Marie mon épouse et ce jeune Benoit qui n’eut pas le courage de s’essayer dans une petite partouze dans la chambre de Margot. Il voulait lui aussi rentré se masturber, mais étant venu avec Stéphane, il était contraint de l’attendre. Il proposa donc à mon épouse de l’aider à débarrasser.

Comme tous les invités, Anne-Marie était chaude comme de la braise, elle m’attendait depuis une semaine et les aphrodisiaques avaient finis par l’exciter au plus haut point. Elle m’envoya un texto et sachant que je ne rentrerais pas maintenant, elle en était déçue d’attendre encore près d’une heure avant que je lui fasse l’amour. Elle ne savait pas si elle pourrait encore attendre plus longtemps, elle aussi avait le feu au cul. Elle ne m’avait jamais trompé mais ce soir, devant ce jeune métis de 20 ans beau et costaud, des idées très érotiques voire perverses lui virent à l’esprit. « Et si je me tapais Benoit ? Pourrait-il me contenter ? » Se demanda-t-elle.


Benoit était charmant avec ses yeux noisette et son petit sourire ravageur, il était évident qu’elle allait craqué. Elle n’avait pas pu résister, ma femme ayant une certaine expérience sexuellement parlant et ayant de la suite dans les idées, elle commença à essayer de le charmer. Elle devinait que lui aussi devait être excité, il avait bu du cocktail et mangé du gâteau au chocolat. Une fois le débarras terminé, elle l’avait invité à s’assoir à côté d’elle au salon. Il était étonné et réticent à la fois, d’un autre côté, il avait devant lui une femme assise avec un décolleté profond qui n’hésitait pas à dévoiler sa petite culotte en écartant ses jolies jambes. Cela lui fit prendre la bonne décision, il s’installa sur le canapé comme la maitresse de maison lui avait demandé.

Benoit ne quittait pas des yeux la poitrine d’Anne-Marie qui pour le provoquer un peu plus lui avait lancé un sourire sensuel, tout en mettant sa main sur son chemisier pour ouvrir un bouton supplémentaire et à remonter un peu plus sa jupe, tout en prétextant qu’elle avait trop chaud. Le jeune homme, timide de nature, était totalement déstabilisé la voyant ainsi, son regard s’éternisait sur les seins de ma femme. Mais lorsqu’elle remonta entièrement sa jupe pour lui faire voir le haut de ses cuisses mises à nues, Benoit avait marqué un temps d’arrêt avant de se lever :
— Non ! Madame, je crois que je vais rentrer à pied. Dit-il en se dirigeant vers le hall d’entrée.

Anne-Marie était furax, elle ne pouvait croire qu’un garçon à son âge, n’ait pas envie de baiser une femme mûre et surtout encore très bien faite. Elle n’en croyait pas ses yeux mais n’abandonna pas. Elle se leva à son tour et passa la vitesse supérieure. Elle s’approcha de lui et resta planté devant lui et en lui offrant son corps en faisant un geste ample de la main, lui dit que son dessert l’attendait. Il s’était immobilisé, la dévisageant de la tête aux pieds, tétanisé par la situation.
Il n’osait pas la prendre dans ses bras, pourtant il mourrait d’envie de l’embrasser. Ce fut elle qui le tira par la main pour le ramener au salon, il se laissa faire. Devant la table de la salle à manger, à quelques mètres de lui, lentement, elle se déshabilla pour se retrouver en string et soutien-gorge.

En petite tenue, elle plaqua son corps contre le sien tout en caressant ses bras, tout en déposant des petits baisers sur son cou. Benoit toujours aussi discret et étonné par cette situation ne faisait toujours rien et n’osait rien dire, stupéfait de ce qu’il lui arrivait. Elle lui retira son teeshirt et lui caressa sensuellement son torse, puis descendit jusqu’à ses abdominaux, ses mains étaient immédiatement suivies de sa bouche qui léchait langoureusement toutes les parties de la peau mate de ce jeune métis. Il devenait très à l’étroit dans son pantalon, Anne-Marie s’en aperçut très vite. En quelques minutes, elle lui enleva son pantalon et ce fut à partir de là qu’il prit conscience qu’il devait lui aussi, participer. En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, ils retrouvèrent tous les deux nus comme un verre.

Contrairement à ce qu’avait pensé ma femme, Benoit fut très entreprenant. Par contre, comme elle s’en était doutée, ce jeune était monté comme un étalon, sa queue était semblable à celle d’un acteur porno. Il l’empoigna avec force et la plaqua contre le mur. Leurs bouches se collèrent et leurs langues se mêlèrent. La respiration du jeune homme, devenait plus forte et ses mains commencèrent à fouiller l’entrejambe de ma femme.

Celles d’Anne-Marie malaxaient déjà sa longue bite et ses testicules gonflées à bloc. Benoit s’enhardit, il lui dit à l’oreille : « Suce-moi ». Cette verge la faisait saliver, elle ne se fit pas prier, elle se mit à genoux, elle prit sa bite en bouche pour une savant fellation. Très vite, il était rentré jusqu’à la garde, tapant son gland au fond de sa gorge. Le jeune la prenait par la tête et faisait un va-et-vient avec sa queue.
Anne-Marie adorait et savait mieux que quiconque faire une gorge profonde. Excitée comme pas deux, sa mouille coulait le long de ses cuisses. Il la releva et ils changèrent de position.

Lui à genoux la jambe de ma femme sur son épaule pour lui offrir sa chatte baveuse. La langue du jeune métis fouillait son intimité trempée de cyprine, il enfila ses doigts dans la fente et la branla comme un fou. Ses doigts furent très vite trempés, il les ressortit pour les donner à lécher à ma femme qui aimait le gout de sa mouille. Puis il la lécha encore un peu, mais il n’en pouvait plus, il avait qu’une envie, c’était de planter son beau dard au plus profond de sa chatte. Il présenta son gland devant l’entrée de son vagin et donna un si grand coup de reins, qu’elle en eut le souffle coupé tellement sa bite était grosse et épaisse :
— Salope, tu voulais ma queue ! Prends ça sale pute.

Anne-Marie coulait comme une fontaine, tous ces propos vulgaires qu’il lui tenait, l’excitait d’autant plus. Il la défonçait littéralement comme une chienne dans son salon, ses couilles tapaient contre son cul. La puissance de ses coups de reins semblait lui perforer le vagin, elle sentait l’orgasme monter. Elle se cramponna à lui en criant son plaisir, pendant il maintenait la cadence lorsqu’elle jouit. Elle n’eut pas le temps d’apprécier son orgasme, il la fit se mettre à genoux, enleva sa capote et lui redonna sa bite dans la bouche afin de lâcher de longs jets de sperme épais entre ses lèvres. Il secoua les dernières gouttes et se rhabilla.

Pendant ce temps à l’étage, les deux cousines en avaient déjà pris plein la chatte et le cul. Les trois garçons s’en étaient donnés à cœur joie, ils leur avaient fait connaitre les joies du sexe. Stéphane les avait enculées à plusieurs reprises toutes les deux, c’était sa spécialité, pendant qu’à tour de rôle, Jérémy et Johan leur remplissaient leurs petites moules étroites, serrées à souhait mais surtout trempées de cyprine. Elles avaient déjà reçu dans la bouche leur première éjaculation. Lorsque les garçons ressortaient leurs bites de leurs orifices vaginal et anal, ils leur demandèrent de s’allongées sur le lit. Debout tous les trois autour d’elles, ils se branlèrent et les arrosèrent une dernière fois avant de se rhabillés et de sortir de la chambre. En laissant les deux jeunes filles nues et épuisées, les bras en croix, du sperme collant à leur peau. Quelques minutes plus tard, elles s’endormirent.

Restée à genoux Anne-Marie était comblée, sa chatte démolie, trempée et la bouche pleine de sperme. Elle se leva enfin pour s’essuyer, remit en catastrophe sa jupe et son chemisier, sans ses dessous qu’elle ne trouvait plus car des bruits de pas dans l’escalier se firent entendre. Les copains de sa fille et de sa nièce en avaient fini de se vider les couilles avec les deux cousines.

En rentrant cette nuit-là, il était plus de minuit, lorsque je vis les quatre garçons quitter la maison en disant « Au revoir Madame X ». En regardant Anne-Marie le visage défait, son maquillage avait coulé et faisant la moue en me voyant, je ne pus m’empêcher de lui demander :
— Que t’arrive-t-il ma chérie ? En apercevant son soutif et son soutien-gorge posés à même le sol de la salle à manger.

Anne-Marie Rougit, elle s’était rendu compte que j’avais remarqué ses sous-vêtements, elle fit mine de rien et s’approcha de moi pour m’embrasser après m’avoir dit : « Tu m’as tellement manqué mon amour. » Sa langue était salée et légèrement gluante, je n’avais plus aucun doute. Vu qu’elle ne portait rien sous sa jupe et son chemisier, son visage défait et ce goût bizarre qu’elle avait dans la bouche, ma femme venait de baiser avec un type et avait dû prendre son sperme entre ses lèvres qui ne portait plus aucune trace de rouge. Ne voulant rien dire avec l’épisode que je venais de vivre, je n’avais pas non plus la conscience tranquille mais un sentiment de jalousie s’installa en moi. Anne-Marie comprit à mon regard, mes doutes lorsque je la fixai dans les yeux. Je lui demandai :
— Pourquoi as-tu fait cela ma chérie ?
— Attends mon amour, installe-toi, je t’apporte à boire et une part du délicieux dessert et je vais tout t’expliquer.

Je dégustai le cocktail et ce fameux gâteau au chocolat préparés spécialement préparés par ma fille et ma nièce pour cette occasion, tout en écoutant les aveux de mon épouse qui regrettait profondément son geste, tout en s’excusant. Je ne pouvais pas lui en vouloir, je l’avais également trompée quelques heures plus tôt. Mais très curieux avant de lui donner ma version des faits, je lui demandai qu’elle me donne tous en détail. Surprise, elle était réticente me disant :
— Mon amour non ! ne me demande pas cela.

La situation m’excitait au plus haut point, j’aimais sentir Anne-Marie derrière ses derniers retranchements, j’avais un coup d’avance sur elle et cela la gênait beaucoup :
— Je ne pourrai pas te pardonner si tu ne me dis pas absolument tout. Viens t’assoir sur mes genoux et raconte-moi. Comment c’était ?

Anne-Marie se mit à détailler tout ce qu’elle avait fait pour séduire ce jeune métis dont la queue ressemblait à s’y méprendre, à celle de Rocco Siffredi. Depuis le début de son récit, mon érection commençait à se développer, cette narration très excitante et ce que j’avais avalé me faisait vraiment de l’effet. Assise sur moi, ma femme s’en aperçut et me dit, juste à la fin de son histoire :
— Tu bandes mon chéri…Tu as aimé ? Viens allons-nous coucher.
— Oui ! Putain que c’est excitant. Mais je dois t’avouer que je ne serai peut-être pas très performant car moi aussi je me suis écarté du droit chemin ce soir.

Nous étions dans les bras l’un de l’autre pendant que je lui racontais mon rêve du train la mettant en scène, elle-même en triple pénétration. Cela l’avait, elle aussi, très excitée :
— Tu vois, tu ne t’es pas beaucoup trompé. Putain moi aussi je mouille. S’exclama-t-elle en riant
— Attends, ce n’est pas fini, je t’explique mon aventure avec Josiane.

À la fin de notre discussion, nous nous sommes retrouvés tous les deux nus, collés bouche contre bouche, nos mains se promenaient sur le corps de l’autre lui procurant une merveilleuse sensation. Nous n’avions pas attendu d’être dans la chambre, nous avions fait l’amour passionnément sur le canapé que nous avions taché de notre jouissance.

Avant de nous endormir, Anne-Marie me demanda de me retourner, me fixa dans les yeux, me fit son plus beau sourire et me dit :
— Pourquoi nous n’inviterions pas à la maison Josiane et Benoit ?
Une suite s’impose, vous pourrez la lire mercredi prochain.

Chères lectrices et chers lecteurs, merci d’avoir lu ce récit qui sort tout droit de mon imagination. J’aimerais connaitre votre sentiment. Vous serez gentils de laisser un commentaire, je compte sur vous. « Perruche »
Vous aussi, si vous avez des idées d’expériences sexuelles, partagez-les avec moi, avec votre aide, je les écrirai à votre place. Contactez-moi par mail. Cyp.perruche@orange.fr

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